Si je me rappelle bien mes discutions avec des psy, un schyzophrene est une personne qui n'arrive pas a dissocier le vrai du faux et qui par consequent voit des choses etranges produites par son imagination et les prends comme reelles. Le dedoublement de personnalite c'est une autre folie

Une vraie definition par la :
http://users.skynet.be/sisyphe/schizophrenie.aspMais bon passons sur ce detail :mrgreen:
L'interet d'avoir un personnage qui a deux personnalites depends de ce que tu veux lui faire faire. Si c'est juste pour triper vas y mais est-ce qu'a part le foutage de gueule de la part des autre ou le retournement de fin du genre : "Mais alors t'as pas de frere jumeaux, t'es juste completement tare ?", il n'y a pas quelque chose de plus interessant a faire ?
Si je ne me trompe dans Yris, il existe un tel peronnage et sans spoiler il n'a rien de fataliste. Apres tout c'est une maladie mentale handicapante et qui tend a separer les pensees d'un etre en plusieurs. Alors pourquoi serait il forcement mauvais ? On peut imaginer un combattant dont le choc d'un massacre de villageois aurais lentement detruit son esprit et aurait fini par creer une seconde personnalite en lui, une personnalite refusant de se battre, apportant l'aide qu'il peut aux personnes dans le besoin et finalement le combattant est d'une part un combattant fidele a kroryn, venerant le combat et toujours loyal aux principes draconiques sur l'honneur et le respect de l'adversaire, et d'une autre part un homme cherchant a tout pris a aider son prochain, fuyant ou esquivant tant qu'il peut les combats, refusant meme les duels.
Apres je ne dis pas qu'un fataliste dans ce cas ne serait pas interessant, mais, connaissant l'idee generale que se font les gens sur les fatalistes, je ne voit pas ce qu'on peut en tirer a part un mechant et un mechant...
Alors qu'on pourrait avoir une ame torturee par les visions de son passe essayant comme il peut de se raccrocher a des branches pourries d'une vie qui ne veux pas de lui et un manipulateur aux desseins sombres mais qui a la seule volonte de faire subir aux autre ce que lui a subit par le passe, tut en s'arrangeant pour que ceux ci provoquent leur propre malheur.